Foire aux questions

1: A partir de quel âge peut-on pratiquer le Karaté ?
2: Jusqu’à quel âge peut-on pratiquer le Karaté ?
3: La Karaté est-il un sport violent ?
4: Peut-on débuter le Karaté tardivement ?
5: Les femmes peuvent-elles pratiquer le Karaté, y compris à des cours mixtes ?
6: Est-il obligatoire de faire de la compétition ?

Réponse 1:

L’âge minimum requis est de 6 ans. En effet, avant cet âge, la psychomotricité d’un enfant est, sauf cas exceptionnel, insuffisante pour qu’ils puissent s’amuser et progresser.

Réponse 2 :

Un âge avancé n’est pas une barrière à la pratique du Karaté. Les cours sont adaptés à l’âge des pratiquants. Il est donc concevable de pratiquer cette discipline sous une forme sportive comme sous celle d’une gymnastique d’entretien.

Réponse 3 :

Avant toute chose, le Karaté est un art martial. Il impose donc une certaine discipline reposant en grande partie sur le respect de ses partenaires de club ou bien de ses adversaires en compétition. Veiller à respecter son intégrité physique et celle des autres fait partie de notre pratique. La prise en compte de ses propres capacités et de celles des partenaires est fondamentale pour créer une saine dynamique de progression.

Réponse 4 :

La réponse est OUI. Il est possible de commencer le Karaté à n’importe quel âge. Il est toutefois préférable d’avoir fait du sport auparavant. Le rythme des entraînements et cours sera alors préconisé par les professeurs en fonction des aptitudes et de l’âge du nouveau pratiquant.

Réponse 5 :

Le Karaté féminin est en plein essor. Il y a en effet de plus en plus de femmes parmi les pratiquants en France et ailleurs dans le monde.

De plus, il faut savoir que les cours sont toujours mixtes. Cela ne pose aucun problème car les professeurs adaptent leurs cours et les exercices en fonction du niveau, de l’âge et du sexe des pratiquants.
A ce propos, le Karaté féminin est très spectaculaire. Les femmes rivalisent désormais avec leurs homologues masculins sur un plan technique.

Réponse 6 :

Chacun est libre d’adapter sa pratique en fonction de sa motivation et surtout des ses objectifs. La compétition n’est pas obligatoire mais conseillée pour compléter le travail traditionnel. Elle peut donc être perçue comme une étape, un exercice différent et supplémentaire mais pas comme une finalité absolue.

L’âge du pratiquant est pris en considération. A ce titre, certaines compétitions sont pourvues de catégories « vétérans ».

Pour les enfants, la compétition commence de plus jeune âge et ressemble davantage à un exercice ludique qu’à une réelle opposition physique.